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Timbres courants canadiens

Timbres courants canadiens : Nicolas Gill représente fièrement le judo

Source : canadapost.ca

En détail : les timbres du Canada (vol. XXI No 1, Janvier – mars 2012)

Notre drapeau orné de sa symbolique feuille d’érable rouge représente l’essence même du Canada. La feuille d’érable, quel que soit l’endroit où elle figure, témoigne de notre fierté à l’égard de ce vaste et beau pays et de la diversité qui le caractérise sur le plan de la population, de la langue et de la culture.

Les timbres PERMANENTSMC au tarif du régime intérieur, qui composent le jeu de nouveaux timbres courants de cette année, arborent cinq autres images dans le cadre desquelles le drapeau canadien est mis en vedette avec respect, honneur et fierté. Un drapeau flotte avec raideur au sommet d’un navire de la Garde côtière canadienne patrouillant les eaux glacées du nord. Une caravane d’époque arbore fièrement la nationalité de ses occupants grâce à un drapeau déployé dans la lunette arrière. Un bambin inuit à la mine épanouie et aux joues roses agite tout content son drapeau canadien durant les célébrations de la fête du Canada. Les scènes olympiques suscitent également un patriotisme sans complexe et passionné. Un quatrième timbre montre le judoka Nicolas Gill portant le drapeau pour le Canada lors des Jeux olympiques d’été de 2004 à Athènes; quant au cinquième timbre, il met en vedette l’athlète Pierre Leuders lors d’une compétition de bobsleigh. Nicolas Gill a été double médaillé durant les Jeux olympiques d’été, et Pierre Leuders, qui en était à sa cinquième participation aux Olympiques, a été reconnu comme le glisseur le plus médaillé de l’histoire canadienne lorsqu’il a pris sa retraite au terme des Jeux olympiques d’hiver de 2010 à Vancouver.

La Garde côtière canadienne, qui patrouille nos eaux et protège nos frontières, qui assure d’importants services maritimes et qui veille à la sécurité et à l’accessibilité de nos voies navigables, célèbre cette année son 50e anniversaire. Il allait donc de soi que ses navires occupent une place de choix dans cette émission.

L’arrière-plan du bloc-feuillet illustre un navire de la Garde côtière canadienne solitaire, le NGCC Louis S. St-Laurent, bâti en 1969 et baptisé du nom du 12e premier ministre canadien, au milieu des glaces. Il s’agit du plus grand brise-glace et du navire mère de la Garde côtière canadienne. La couverture du carnet de 30 timbres place le spectateur en plein dans la scène grâce à une image offrant un point d’observation du haut du NGCC Amundsen et révélant une perspective inhabituelle des marques taillées dans la glace par ces navires. L’Amundsen, nommé en l’honneur de l’explorateur de l’Arctique Roald Amundsen, est un brise-glace de l’Arctique de taille moyenne à qui on a donné une nouvelle vie en 2003, lorsque le NGCC Sir John Franklin a bénéficié d’un financement pour être converti en navire de recherche dédié à l’océan Arctique. Bâti en 1979, le Sir John Franklin, a été jugé excédentaire au sein de la flotte et désarmé en 1996. Le navire remis en état possède un puits central qui permet aux chercheurs de faire descendre les instruments dans la mer par la coque sans devoir couper la glace.

« Désireux de mettre l’accent sur la fierté canadienne et la notion de ‘port du drapeau’, nous avons jugé approprié de placer le mot ‘CANADA’ dans le haut du timbre, en faisant figurer plus bas l’imagerie du drapeau, explique le designer Michael Kirlew. Nous avons choisi un concept qui, selon nous, est nouveau et rafraîchissant. Les images sont empreintes de symbolisme et lourdes de sens, mais également très personnelles. Il ne s’agit pas tant du Canada en général, mais plus précisément des Canadiens. »

« C’est l’objectif que nous voulions atteindre, d’ajouter Liz Wong, gestionnaire, Conception des timbres. Honorer ce qui nous définit comme nation, ce qui nous importe en tant que population et la manière dont nous choisissons de vivre. »

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